La révision du SCoT est justifiée :
- par l’obligation de mise en compatibilité du SCoT avec le SDAGE.
- Prise en compte des risques inondations,
- Gestion quantitative de la ressource en eau potable,
- Préservation des milieux aquatiques.
- par un choix politique faisant suite à l’évaluation du SCoT après 10 ans d’application,
- par le cadre législatif qui a évolué : lois Grenelle et ALUR, notamment.
Elle a été prescrite par délibération du Comité Syndical, le 6 décembre 2014, le 6 juin 2015 et le 25 mars 2017.